Nous sommes arrivés à Montréal fin décembre, et il faisait évidemment très froid. Heureusement, nous étions tous bien préparés. Après-skis, doudounes, bonnets, gants… Nous avons eu chaud à Charles de Gaulle, mais ca vallait le coup !
Nous avions 1 semaine sans appartement, donc nous avons dû faire 2 hotels, un au milieu d’un zone assez déserte et un au coeur de Montréal.
Les premiers jours furent principalement dédiés à l’accommodation non seulement à l’horaire mais aussi au froid. Sortir alors qu’il fait -16° demande une grande détermination. Finalement, nous nous sommes décidés à sortir et avons découvert la ville de Montréal aux alentours du Nouvel An.
Il y a beaucoup d’animations dans Montréal entre le 25 décembre et le Nouvel An comme des feux d’artifices.
Nous avons également tenté de visiter le Mont Royal, mais les conditions météo ne nous ont pas permis d’aller plus haut que le point de vue atteignable par bus. Nous retenterons notre chance au printemps, dans l’espoir d’avoir un beau point de vue sur la ville.
Nous avons également visité la ville sous la neige, dont la plus grande rue commerciale de Montréal, la rue Sainte-Catherine. Elle s’étend sur une très grande partie de la largeur de Montréal.
Enfin, nous sommes allés au Nouvel An sur le Vieux Port, et il y avait énormément de monde. Une fête en plein air était organisée, nous y sommes passés rapidement mais il neigeait donc nous nous sommes réfugiés en attendant les feux d’artifice.
Après le Nouvel An, nous avons emménagé et nous avons découvert la partie résidentielle.
Les trottoirs ne sont pas déneigés à Montréal, et lorsque la neige fond, ca se transforme en verglas. Aller à l’UQAM devient de plus en plus dangereux…
Le réseau de métro de Montréal est très pratique et permet d’accéder à l’UQAM depuis la station sans avoir à sortir. Il fait très chaud dans les réseaux souterrains et dans l’UQAM. Les cours sont très bien et les professeurs très agréables.
Voilà où nous en sommes dans le voyage. Les examens mi semestre arrivent à grand pas, donc nous ne sortons plus beaucoup. Mais quand on voit la température dehors, ce n’est pas très difficile de se convaincre à rester pour réviser !
Lise Jolicoeur lise.jrx@gmail.com