Bromont est une station de ski très charmante située à 1 h de route de Montréal. Avec une superficie de 116 km² et une altitude de 139 mètres, cette station de ski comporte 142 pistes, de quoi ravir les plus grands skieurs. Le week-end du 31 mars est l’avant-dernier week-end avant la fermeture de la station de ski Bromont. Nous avons décidé avec Thibault Cothenet, Antoine Julien et moi-même (Romain LE BRETON) de profiter de ce week-end de Pâques afin de partir au ski.
Le samedi 31 mars à 11 h du matin, nous partons de Montréal en direction de Bromont. J’ai emprunté une voiture grâce à une de mes connaissances. Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous nous sommes devant le monospace qui nous a été gentiment prêté afin d’aller à Bromont.
Après un arrêt au Burger King nous arrivons enfin au condo (appartement en français) qui nous a été prêté par la même personne qui nous avait déjà prêté la voiture. 6 couchages, situé au pied des pistes, voici ci-dessous une photo de l’appartement, ainsi que de la vue du balcon :
Après s’être installé nous avons directement chaussé nos skis (encore une fois gentiment prêtés) et nous sommes partis dévaler les pistes à toute vitesse. Arrivés en haut des pistes nous avons été subjugué par la vue.
Les conditions de ski n’étaient pas idéales, la neige était lourde avec quelques plaques de verglas, mais ce fut tout de même très acceptable pour une fin de saison.
Cette station québécoise est très différente d’une station française, étant donné que le sommet de la montagne n’est pas très haut, les pistes ne sont pas pentues. La majorité des pistes de Bromont sont idéales pour les débutants. Également, chaque piste peut se descendre relativement vite. Ce qui fait qu’on a l’impression de passer énormément de temps sur le télésiège.
Après avoir skié. Nous avons été faire les courses à Metro situé à 5 minutes en voiture. Pour le samedi soir, j’ai décidé de cuisiner selon mes origines. Par conséquent, j‘ai préparé un repas typiquement breton : des galettes et des crêpes bretonnes.
Après avoir assisté aux merveilleux coucher de soleil de notre balcon nous sommes partis dormir.
Le lendemain, les conditions devenaient de pire en pire, et de multiples chutes en ski se sont produites. Par conséquent, nous n’avons pas énormément skié.
Nous en avons profité pour réviser, car les examens arrivent à grands pas.
Puis le soir après une bonne raclette, nous sommes rentrés à Montréal.
Romain LE BRETON romain.le-breton@u-psud.fr