J’écris ce dernier poste en France. En effet je suis arrivée hier dans l’après-midi. Malgré une fin de séjour assez agités(vol de moto,récupération de passeport difficile…) je ne peux quitter le pays sans ce pincement au cœur. Je ne sais pas pourquoi mais quitter ce beau pays, quitter ce peuple khmère si accueillant, si attachant s’est relevé être une tâche plus difficile que ce que j’aurai pus penser. Ces derniers jours au Cambodge m’ont amené à Sihanoukville avec des amis inoubliables. Ces derniers jours au Cambodge m’ont amené à SiemReap Kantout, où j’ai pus contempler le travail fabuleux des élèves et formateurs du CKN qui ont tout construit des fondations en passant par l’électricité ,l’eau… J’ai pus travailler dans les champs avec ces élèves si courageux, sous un soleil ardent qui ne semblait déranger personne. Nous avons passés un moment inoubliable ensemble! Les échanges mi-khmère,mi-anglais ont sut dévoiler des sourires,des fous rires. « Brother you’re hot? », »Brother you’re Ok? », »Brother come drink! »
Ils travaillent tous dans la joie et la bonne humeur au moment où le soleil est au plus haut sans rechigner. Car c’est grâce à cet esprit d’entraide et de solidarité qu’ils ont sut construire ce centre. Tel est l’esprit CKN!
Ces derniers jours au Cambodge, m’ont amené à dire au revoir à Phnom Penh, ville si bruyante et agitée, mais si l’on prend le temps de regarder de plus près on y voit le travail éprouvant de ceux qui vivent avec cette pauvreté omniprésente, la détermination de fer des étudiants qui s’accrochent aux études,le harcèlement perpétuelle des tuc tuc ou moto dop qui ont besoins de cette course pour manger ce soir,le sourire de ces enfants, qui ont pour seul matelas le trottoir… en bref on y voit le quotidien de ceux qui lutte chaque jour pour survivre.
Ces derniers jours à Phnom Penh m’ont amené à faire mes adieux à ceux que j’ai pus côtoyer durant ces 2 merveilleux mois. Personnels du CKN, frères de religion, amis du quotidien, tous m’ont formidablement accueillis. Malgré le peu de moyen qu’ils ont ils m’ont tous accordés bien plus que l’hospitalité. Ce sont ces moments inoubliables qui me permettre d’affirmer que ce voyage m’a changé.
bonne humeur au moment où le soleil est au plus haut sans rechigner. Car c’est grâce à cet esprit d’entraide et de solidarité qu’ils ont sut construire ce centre. Tel est l’esprit CKN!
Ces derniers jours au Cambodge, m’ont amené à dire au revoir à Phnom Penh, ville si bruyante et agitée, mais si l’on prend le temps de regarder de plus près on y voit le travail éprouvant de ceux qui vivent avec cette pauvreté omniprésente, la détermination de fer des étudiants qui s’accrochent aux études,le harcèlement perpétuelle des tuc tuc ou moto dop qui ont besoins de cette course pour manger ce soir,le sourire de ces enfants, qui ont pour seul matelas le trottoir… en bref on y voit le quotidien de ceux q
bonne humeur au moment où le soleil est au plus haut sans rechigner. Car c’est grâce à cet esprit d’entraide et de solidarité qu’ils ont sut construire ce centre. Tel est l’esprit CKN!
Ces derniers jours au Cambodge, m’ont amené à dire au revoir à Phnom Penh, ville si bruyante et agitée, mais si l’on prend le temps de regarder de plus près on y voit le travail éprouvant de ceux qui vivent avec cette pauvreté omniprésente, la détermination de fer des étudiants qui s’accrochent aux études,le harcèlement perpétuelle des tuc tuc ou moto dop qui ont besoins de cette course pour manger ce soir,le sourire de ces enfants, qui ont pour seul matelas le trottoir… en bref on y voit le quotidien de ceux q
Malgré tous les petits soucis que j’ai pus avoir dans ce pays, je continue à croire qu’ils sont vraiment négligeables face aux problèmes infiniment plus importants auxquels sont confrontés chaque jour les gens là bas. Des problèmes que tout le monde encaisse là bas à la manière asiatique, c’est à dire avec calme et sourire. Comment puis-je me plaindre de mes problèmes financiers quand le salaire mensuel moyen est de 100$? Comment puis-je me plaindre que je n’ai pas vus ma famille depuis 2 mois, quand l’on rencontre des orphelins à peine âgés de 3 ou 4 ans dans les rues de phnom penh en train de tirer un chariot d’ordures? Pour toutes ces raisons je conclurai ce dernier post en disant que ce voyage, cette aventure n’a pas de prix. J’y ai vus la vraie valeur du travail, de l’argent et de la famille. J’y ai découvert cette culture si différente,ses paysages paradisiaques, ses sourires quasi permanent. J’y ai entendus des histoires si tristes,vus ces ecarts si injuste. Je n’ai jamais vus de pauvres aussi démunis et de riche aussi riches.
Je conseille à tous les étudiants qui liront ces lignes d’aller tenter cette aventure. Casser ce train-train quotidien du petit occidental gaté et privilegié…afin de réaliser que le bonheur peut avoir un autre aspect que materiel.